Quand un citoyen français s’implique dans la vie de la Cité, on ne cesse de le renvoyer à ses origines. L’extrême droite s’acharne à stigmatiser l’absence supposée d’intégration des immigrés et de leurs enfants. On a la preuve ici que l’intégration est un argument qui cache juste la haine de l’Autre.
Par ailleurs, SOS Racisme Rhône ne peut s’empêcher de faire un parallèle avec les attentats commis en Norvège. Là-bas, les discours décomplexés xénophobes y ont armé un fanatique, ici, ils conduisent à menacer de mort un élu de la République.
SOS Racisme Rhône interpelle la Préfecture du Rhône et le Parquet de Lyon pour qu’ils ne minimisent pas les dangers que représente l’extrême droite, surtout dans notre agglomération. Au-delà des scores électoraux inquiétants réalisés par cette partie de l’échiquier politique, il n’est pas possible de sous-estimer le potentiel de violence que l’extrême droite représente et qu’elle suscite par ses discours invariablement haineux. Il ne s’agit pas d’un acte isolé. L’association reçoit régulièrement ce genre de menace.
SOS Racisme Rhône espère que le Procureur de la République accordera à la plainte de Lotfi BEN KHELIFA toute l’attention que la gravité de tels actes nécessite, implique et induit. Elle restera exigeante et vigilante jusqu’à que l’auteur de cet acte odieux soit condamné.
Nous demandons à la Mairie de Vénissieux de mettre en œuvre la protection juridique dont devrait bénéficier cet élu, et d’ici là qu’elle condamne également cet acte.
allez sur 20 minutes sur l'article de lepen ! le smoderateurs ne laissent que de scommentaires en faveur d elepen ! Ils justifient la mort desjeunes et n'ont aucun regret ! choubidouwahh, alain69007, frodorex , etc ... sans doute une meme personne ! Quelle honte ! cela va durer tout le WE car il en est ainsi ! en semaine ils font plus attention mais le we seul leur parole reste , tout est effacé ! conciléo ,qui les emploie doit etre sanctionné !
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimerJ ai déposé plainte le 25/03/11 à gendarmerie de Canet en Roussillon (66) pour violences volontaires.
Pour un diférent concernant un droit de passage sur un terrain agricole, je me suis fait menacé de violence extrème par téléphone puis prendre en chasse et finalement frapper en la présence de deux gendarmes que j'avais appelés à la rescousse 5 mn avant ,par un élu conseiller municipal de la commune de Villelongue de la Salanque (66). Lorsque le forcené cessa de frapper , il continua a proféré des injures à caractères raciales, homophobes et dégradantes. (Sale nêgre, lavette, pédé, tapette, loquedu). Depuis d'autres mesures discriminatives ont été pris à mon égard comme de m'expulser de mon terrain où j'avais posé la caravane pour la saison agricole d'été alors que des voisins ont pu maintenir des constructions illégales e dur sans avoir été inquiété., sous l'influence du conseiller adjoint aux commissions sécurité, agriculture , embellissement et voirie.
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Il va sans dire que je suis français de père mexicain donc d'apparence afro-caribéenne.