L'Elysée a confirmé le 2 décembre 2010 que Nicolas Sarkozy envisageait de nommer l'ex-président de l'Association française contre les myopathies Eric Molinié à la tête de la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde), en remplacement de Jeannette Bougrab.
L’annonce en avait été faite la veille par le président de la commission des Lois de l’Assemblée nationale, Jean-Luc Warsmann (UMP).
« Le président de la République envisage de nommer Eric Molinié, en qualité de président de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité », écrit l’Elysée dans un communiqué.
« Le président de l’Assemblée nationale et le président du Sénat sont saisis de ce projet de nomination, afin que la commission intéressée de chacune des assemblées se prononce dans les conditions prévues par le cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution », poursuit le texte.
« Le président de la République envisage de nommer Eric Molinié, en qualité de président de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité », écrit l’Elysée dans un communiqué.
« Le président de l’Assemblée nationale et le président du Sénat sont saisis de ce projet de nomination, afin que la commission intéressée de chacune des assemblées se prononce dans les conditions prévues par le cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution », poursuit le texte.
Audition le 8 décembre
La commission des Lois de l’Assemblée procèdera à son audition le 8 décembre, a annoncé par ailleurs l’Assemblée dans un communiqué. Diagnostiqué myopathe à l’âge de huit ans, M. Molinié avait déjà été choisi en avril par le chef de l’Etat pour siéger au collège de la Halde.
Depuis la nomination de Jeannette Bougrab le 14 novembre comme secrétaire d’Etat à la Jeunesse et à la vie associative, personne n’avait encore été nommé pour la remplacer à la tête de cette institution appelée à disparaître, avec la mise en place du Défenseur des droits, prévue début 2011.
Depuis la nomination de Jeannette Bougrab le 14 novembre comme secrétaire d’Etat à la Jeunesse et à la vie associative, personne n’avait encore été nommé pour la remplacer à la tête de cette institution appelée à disparaître, avec la mise en place du Défenseur des droits, prévue début 2011.
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